Ils ont comme point commun leur métier, et très souvent leur passion à l'exercer.
Ils connaissent le cycle de la vie, des animaux et le leur.
Les galères des troupeaux qui réduisent de taille (maladies, intempéries et vente pour la survie), de l'absence d'enfants ou de repreneur pour la ferme … et la solitude du paysan, loin de tout, y compris de la tendresse d'une femme.
On se quitte dans la douleur. On pleure la perte de l'homme, jovial et travailleur.
L'espace d'un instant on se sent faire partie du village.
L'histoire continue au-delà du générique.
PS : s'il est mieux de regarder les 3 chapitres, celui-là (le second) est émotionnellement très au-dessus des autres.