Suite logique du "Quotidien", ce chapitre est un prolongement qui se termine en points de suspension.

La perception d'une "nouvelle" dans le village, même si devenue femme de paysan.
La tristesse de ces visages qui semblent vivre hors du temps.
La difficulté de s'établir : 3 chèvres ce n'est pas suffisant … et quand on veut être paysan et avoir une vie à côté, l'équation semble impossible.

Leur vie moderne est pleine de tendresse, d'incertitudes, de pressions (financière notamment — le coût de leur vie et l'instabilité des revenus d'un marché agricole qu'ils ne maitrisent plus).

Mais toutes ces personnes sont belles et comme le dit Raymond, ces paysages ont une superbe avec qui il a lié un lien tendre et fort.

L'espace d'un instant on a mangé à la table de ces travailleurs de la terre et des animaux.
thom4
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le 10 déc. 2012

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