Déjà maladroit et bancal dans sa narration, Proud Mary trébuche aussi dans sa réalisation, tout simplement indigne d’un tel projet. Mal éclairé et mixé, monté et cadré en dépit du bon sens (pas une seule scène de dialogue qui ne soit surdécoupée, à contre-jour ou de travers), tourné dans des décors de studio interchangeables et sans personnalité, le film de Najafi déçoit sur à peu près tous les plans, excepté lors d’une brève mais correcte fusillade. Du DTV de bas étage, donc, là où on s’attendait à un divertissement racé grand luxe.
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