Ahhhh l'adolescence...
Sujet de prédilection pour beaucoup de cinéastes ou même d'écrivain, l'adolescence est le sujet principal de "Puppylove". Là où Delphine Lehericey se démarque des autres c'est dans sa façon de...
le 30 août 2015
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Bof. J'en attendais plus.
Ça commence bien, avec un personnage visiblement pas très bien dans sa peau, qui a envie de grandir, d'être adulte, de faire ce qu'une femme fait avec un homme, mais qui ne parvient pas à franchir le cap, qui bloque. Le problème, c'est que l'auteure ne parvient pas à aller au-delà de ce constat et propose une série de scènes plutôt répétitives, aboutissants toujours à la même conclusion. Il faut attendre la fin avec une séquence symbolique pour que l'héroïne évolue. Les personnages secondaires sont intéressants mais leur exploitation est finalement assez superficielle, sans grosse surprise. Les conflits ne sont pas assez présents et les résolutions sont un peu faciles (allez on fait la paix).
La mise en scène fonctionne, la réalisatrice capte bien ses actrices et acteurs. Les scènes plus hot fonctionne bien, c'est un peu érotique, pas pour rien que Pérez a été choisi j'imagine, et puis les jeunes actrices sont bien foutues ! La photographie est plaisante, simple. Les décors bien choisis mais pas assez investis.
Bref, le scénario déçoit.
Créée
le 13 mai 2021
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