Puppylove
5.6
Puppylove

Film de Delphine Lehericey (2013)

Bof. J'en attendais plus.


Ça commence bien, avec un personnage visiblement pas très bien dans sa peau, qui a envie de grandir, d'être adulte, de faire ce qu'une femme fait avec un homme, mais qui ne parvient pas à franchir le cap, qui bloque. Le problème, c'est que l'auteure ne parvient pas à aller au-delà de ce constat et propose une série de scènes plutôt répétitives, aboutissants toujours à la même conclusion. Il faut attendre la fin avec une séquence symbolique pour que l'héroïne évolue. Les personnages secondaires sont intéressants mais leur exploitation est finalement assez superficielle, sans grosse surprise. Les conflits ne sont pas assez présents et les résolutions sont un peu faciles (allez on fait la paix).


La mise en scène fonctionne, la réalisatrice capte bien ses actrices et acteurs. Les scènes plus hot fonctionne bien, c'est un peu érotique, pas pour rien que Pérez a été choisi j'imagine, et puis les jeunes actrices sont bien foutues ! La photographie est plaisante, simple. Les décors bien choisis mais pas assez investis.


Bref, le scénario déçoit.

Fatpooper
4
Écrit par

Créée

le 13 mai 2021

Critique lue 230 fois

1 j'aime

Fatpooper

Écrit par

Critique lue 230 fois

1

D'autres avis sur Puppylove

Puppylove
You-me-the-violence
7

Ahhhh l'adolescence...

Sujet de prédilection pour beaucoup de cinéastes ou même d'écrivain, l'adolescence est le sujet principal de "Puppylove". Là où Delphine Lehericey se démarque des autres c'est dans sa façon de...

le 30 août 2015

2 j'aime

Puppylove
Matthieu_Robine
7

Attention chiot méchant !

Il y a dans Puppylove l'apparence des histoires générationnelles habituelles, on cherche sa sexualité, ses premiers amours, on fuit sa famille. Dans Puppylove, le côté brut surpasse les clichés, un...

le 5 avr. 2014

2 j'aime

Puppylove
g0urAngA
6

La vie de Diane, un "La vie d'Adèle like"

Une fois n'est pas coutume, l'adolescence est encore à nouveau ici le thème central de PuppyLove. On retrouve les défauts de ce genre de films, déja vu et revu. Une héroïne mal dans sa peau, perdu...

le 29 mars 2014

2 j'aime

Du même critique

Les 8 Salopards
Fatpooper
5

Django in White Hell

Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...

le 3 janv. 2016

122 j'aime

35

Strip-Tease
Fatpooper
10

Parfois je ris, mais j'ai envie de pleurer

Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...

le 22 févr. 2014

121 j'aime

45

Taxi Driver
Fatpooper
5

Critique de Taxi Driver par Fatpooper

La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...

le 16 janv. 2011

108 j'aime

55