La peur au bout du fil
Leona Stevenson (Barbara Stanwyck), une femme infirme, est clouée au lit, seule chez elle. En voulant téléphoner à son mari, censé être rentré du travail, elle est branchée sur la mauvaise...
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le 11 janv. 2017
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Léona (Barbara Stanwick) est cardiaque et paralysée (et surtout hypocondriaque). Dans son lit elle entend, suite à un erreur, une conversation téléphonique où deux assassins parlent d’un meurtre qui sera commis à 23H15 au moment du passage d’un train.
Son époux Henry (Burt Lancaster), s’ennuie à son poste honorifique de vice-président de la société fondée par son riche beau-père. Pour aider M.Evans, son employé, il se lance dans un trafic de produits pharmaceutiques. Mais il a le tort de mettre dans le coup Morano et sa bande de malfrats. Sans le savoir il va déclencher un mécanisme mortel qu’il ne pourra pas arrêter.
Après différents appels suivis de flashbacks, Léona finit par comprendre que c’est elle qui sera la victime. Il est 22H00 au moment de l’appel téléphonique du début ; sans vouloir dévoiler la fin, le film se termine à 23H15 précise, au moment du passage d’un train.
Un très bon film noir d’Anatole Litvak, compliqué mais moins que le Faucon Maltais ou le Grand Sommeil, et qui a eu à son époque un succès mérité.
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Créée
le 22 juin 2019
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