Prenez une bonne dose de nostalgie et mélangez la à vos meilleurs souvenirs cinématographiques de ces dernières années (licence Spielberg mais pas que...) et après... bah après on est bien emmerdé... On attend un fil conducteur à tout ça... l’Oasis (le monde dans lequel évoluent les personnages du film) est un « fourre tout » de références de pop culture et de geekerie, et ça devient vite bordélique, on en oublierait même ce que l’on regarde tellement on en prend plein la tête : les effets sont là mais le scénario n’a aucune limite dans ce monde virtuel ; on aurait pu en faire une série en 20 saisons tellement il y en a à raconter dans cette univers. Bref... Spielberg réalise ici quelque chose qui nous dit « Hey les mecs, j’ai pas grand chose à raconter mais j’ai fait réchauffer quelques plats... »