On comprend vite qu'on est dans la fable, donc tous les arguments concernant l'invraisemblance des situations peuvent tomber… a condition de ne pas pousser le bouchon trop loin, or c'est exactement ce qui se passe, la dernière scène étant de ce point de vue infantilisante. De plus il a fallu que le scénariste ajoute une sous-intrigue d'une lourdeur qui fait peine à voir, et qui n'est qu'un prétexte pour condamner le divorce. Si la mise en scène est très statique et très bavarde, on sauvera l'interprétation de Monty Woolley qui crève l'écran ainsi que celles des quatre dames, bien différentes mais sympathiques. Anecdotique et pas indispensable.