James Huth, connu pour Brice de Nice, signe ici un film qui peine à convaincre. L’œuvre se révèle lourde et sans réel intérêt, tant sur le plan de l’intrigue que de la réalisation, ce qui nuit à l’ensemble. Le scénario manque cruellement de finesse, rendant l’histoire confuse et peu captivante.
La seule bouffée d’air frais vient de Christian Clavier, dont la performance, quoique salvatrice, ne parvient pas à compenser les nombreuses faiblesses du film. Malgré quelques tentatives d’humour, Bienvenue chez les Malawas reste une expérience cinématographique décevante,