Spoil au nez
Attention merci de lire ce qui suit attentivement! Il y a une quarantaine d'années, au Japon, une petite fille a été jetée dans un puits par son père. Pour lutter contre cette indicible pollution de...
Par
le 14 juil. 2012
29 j'aime
6
La VHS vampirise. La peur condamne. L’œil est contaminé. La menace devient virale et la malédiction dévore le réel. Fatale hantise.
Un film très « esthétique » qui oscille entre poésie, fantastique et horreur. J’ai lu des articles à propos des histoires « d’onryo », des esprits de femmes qui, ayant subi un traumatisme de leur vivant ou une mort violente, viennent se venger depuis l’au-delà. Sous une apparence de spectre aux longs cheveux bruns et aux visages blafards. C’est intéressant de mettre en parallèle le fantastique et la technologie à travers la VHS maudite ( aujourd’hui cela serait le DVD) La menace est omniprésente car liée au fait d’être « vue » regardée, diffusée et la mort au bout devenant virale ( à double sens car pour cesser la malédiction pour celui qui regarde , il faut recopier sans cesse la VHS) .Quant à l’angoisse, elle est permanente ( dans ce qu’on voit et ne voit pas. )
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Les meilleurs films d'horreur, Les meilleurs films japonais et Les meilleurs films d'horreur des années 1990
Créée
le 29 juil. 2024
Critique lue 6 fois
D'autres avis sur Ring
Attention merci de lire ce qui suit attentivement! Il y a une quarantaine d'années, au Japon, une petite fille a été jetée dans un puits par son père. Pour lutter contre cette indicible pollution de...
Par
le 14 juil. 2012
29 j'aime
6
Certains pays sont reconnus pour leur cinéma d’horreur. L’Espagne, évidemment, les USA, toujours très bons, la France, pas très médiatisée et le Japon, le plus connu. Ring, le plus grand...
Par
le 3 oct. 2012
27 j'aime
7
A bien des égards, on constate avec le temps que le cinéma nippon nous plonge dans un décors, une noirceur et une transe que n'arrive pas à reproduire le cinéma Américain. C'est le cas de bon nombre...
Par
le 3 nov. 2010
25 j'aime
5
Du même critique
Devenir père est un chemin balisé par l’amour et la transmission. Entre liens du sang et liens du cœur, une ballade pudique et douce-amère. La paternité est à la fois éternelle et changeante. La...
Par
le 19 août 2024
5 j'aime
Une réussite en tous points : casting, mise en scène, narration avec son montage alterné, une dramaturgie des émotions et des actions. Et le roman est très simplifié sans être trahi car l’imaginaire...
Par
le 11 juil. 2024
5 j'aime
Un thriller psychologique noir et dépouillé. Avec Costello, Delon restera à jamais la figure moderne du samouraï et l’incarnation de sa solitude.
Par
le 19 août 2024
4 j'aime