Asylum aime les zombies, et Nick Lyon. Il réalise donc un deuxiéme film du genre pour le studio… et se paye même Danny Trejo au casting !
Lors d’une invasion de zombies, un groupe de survivant trouve refuge sur l’île d’Alcatraz. Ils entendent alors parler d’un reméde…
Et c’est reparti pour défourailler de la chair pas fraiche. Cette fois au sein d’un film qui ne fait pas partie des plus honteux du studios, qui commence à avoir une petite (trés petite hein), maitrise du genre. Du coup, les moches le sont bien, mais le film paie surtout un casting pas impliqué (hormis le Danny, qui y croit quand même), et des effets visuels, notamment d’explosions, simpement dégueulasse. Sans compter la photo d’une fadeur absolue.
Et le rythme dans tout ça ? Faiblard, comme à l’habitude du studio, qui peine à faire vivre le peu d’histoires qu’ils écrivent. Nous en avons encore la preuve donc : Asylum ne cherche pas la qualité, mais bel et bien la quantité et le commercial, rien de plus.