Allez encore un !
On continue à ressortir la même formule ! Heureusement après ça ils ne remettront pas le couvert. Jacques Pinoteau et Jacques Vilfrid nous inventent donc une suite aux aventures d'Antoine, de son...
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le 29 août 2020
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On continue à ressortir la même formule ! Heureusement après ça ils ne remettront pas le couvert. Jacques Pinoteau et Jacques Vilfrid nous inventent donc une suite aux aventures d'Antoine, de son triporteur et de la belle Popeline imaginées par René Fallet.
Pour être digne de sa belle aux yeux de son père, Darry décide de faire le tour du monde en bateau, fabriqué avec son triporteur. Il part avec un chien et ensemble ils affrontent moult périples. Finalement il passe une bonne partie du film sur une île déserte, il lui arrive un tas de trucs supposément drôles, notamment un débarquement de soldats américains. On a même une référence à "il est minuit docteur Schweitzer".
On va évacuer ça rapidement, on rit trop peu. La fantaisie de Darry Cowl fait sourire, voilà. Les dialogues de Vilfrid le servent mais ne sont pas vraiment drôles en eux même, ce qui ne serai pas un soucis si la mise en scène proposait de bons gags. Malheureusement Pinoteau a bien comprit que le public donnera ses sous pour revoir la même chose. En l'apparence l'histoire est plus fofolle que celle du premier film mais au final c'est juste un calque au rabais. Tous les gags ont pour maître mot la pitrerie, le portnawak le plus complet.
Ca ne suffit pas pour faire un film quand même.
Créée
le 29 août 2020
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