Director’s cut
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Rolls, Rolls, I Love You démarre sur les chapeaux de roues avec une scène d’ouverture d’une dizaine de minutes qui nous emportent littéralement dans le film. C’est marrant et bien fait. On notera par ailleurs que c’est le grand Tony Ching (Duel to the Death, 1983) qui est le chorégraphe des scènes d’actions. Les bases sont donc posées par cette fluidité et ce ton léger qui nous accrochent. On sait dès lors qu’on aura à faire à un petit film sans prétention qui sera là pour nous faire passer un agréable moment et on ne demande que ça ! On sourit, on rigole, on s’amuse devant les situations de notre « bande des quatre » qui aura du mal à partir avec un Chen Kuan Tai de taille (voir la scène furtive où il se prend pour Superman, c’est juste bon !). Les scènes comiques s’enchaînent pour notre plus grand plaisir entre absorption d’alcool au goulot au « braquage » mise en scène par nos joyeux lurons en passant par l’affrontement dans les locaux du multi-millionnaire. Bref. Un moment de détente en perspective dont on ne se lasse pas tant les personnages s’avèrent touchant. On aimerait que les choses se poursuivent encore et encore mais comme toute bonne chose, tout à une fin.
Rolls, Rolls, I Love You s’inscrit dans ces comédies légères avec un peu d’action que produisait la SB. Un produit de détente qui ne parlera sans doute pas au grand nombre mais sûrement à une partie de ceux qui apprécient ces comédies hongkongaise.
(voir peloche et + : https://hongkongmovievideoclub.wordpress.com/2012/03/09/rolls-rolls-i-love-you-1982-kong-lung-avis-critique-review/)
Créée
le 11 mars 2012
Critique lue 263 fois
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