6
Towards the within
Se faire un avis sur un film prend généralement les trois premiers quarts d’heure : on fait connaissance, on saisit les enjeux, les choix, on adhère ou non. La plupart du temps, le diesel est lancé...
le 16 avr. 2016
79 j'aime
4
Les murs se brisent
Avec un sujet aussi sensible il aurait été facile de s'attarder sur le mauvais angle de vue. La psychologie de l'agresseur, la famille de la mère captive. Mais il n'en est rien. A travers l’œil innocent d'un enfant nous découvrons le quotidien de ces deux captifs. Et c'est bel et bien dans le quotidien que se dévoile toute la subtilité de la situation et la complexité des personnages, leurs peurs et leurs forces.
C'est avec brio que le réalisateur nous dévoile cette histoire qui se trouve être au final remplie d'espoir.
9
Écrit par
Créée
le 22 nov. 2016
Critique lue 282 fois
D'autres avis sur Room
8
Le monde à hauteur d'enfant
Aujourd'hui, j'ai cinq ans. C'est mon anniversaire. Je suis un grand et je réveille 'Man pour le lui faire savoir. Elle me félicite, 'Man, avec ce drôle de ton dans la voix, avant de me proposer que...
le 9 mars 2016
77 j'aime
11
4
Room on fire
Un sujet dont le traitement s'annonçait tellement prometteur... mais qui se révèle avant tout casse-gueule. Une femme et son fils séquestrés dans une cabane au fond du jardin de leur geôlier (et...
Par
le 1 févr. 2016
73 j'aime
14
Du même critique
9
Poétique
Voilà enfin un film que je pourrais voir plusieurs fois d'affiler sans me lasser tant il est beau. Du pur Wong Kar-Wai, contemplatif et poétique. D'après moi son second meilleur après In The Mood For...
Par
le 25 déc. 2016
1 j'aime
6
Ni bon ni mauvais
Est-ce que ce film est bien ? Oui. Le voyage de Evan en Italie pour échapper au récent décès de sa mère est raconté sans prétention. Son histoire d'amour arrive à point nommée et redonne du souffle à...
Par
le 16 déc. 2016
9
Les murs se brisent
Avec un sujet aussi sensible il aurait été facile de s'attarder sur le mauvais angle de vue. La psychologie de l'agresseur, la famille de la mère captive. Mais il n'en est rien. A travers l’œil...
Par
le 22 nov. 2016
