Un quart de siècle plus tard, "Roselyne et les lions" constitue toujours un cas d'école : la combinaison d'une esthétique décalée et d'une sincérité narrative évidente font de ce très curieux film un ratage méritant, donc exemplaire. En conséquence, le film mérite d'être vu, revu, et, rétrospectivement, c'est bien le fantôme du "Lola Montès" de Max Ophüls qui plane sur tout ça. La perte de l'innocence, peut-être ? ... Oui, à la réflexion, voilà le thème central de "Roselyne et les lions".
ChrisBur
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le 27 mai 2013

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le 27 mai 2013

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