Communautarisme , Fanatisme , Instrumentalisme , Obscurantisme ,Terrorisme... Ça en Fait Du Isme !

Chouette ! Un film d'heroic-fantasy italien complétement fauché ! Avec des combats foireux et des culturistes huilés et des Amazones (nues .. ou presque) en peaux de bêtes ! Voila de quoi passer une "Sacrée Soirée" , devant son canapé ou son lit , en train de mater ce film sur le net . Ce film donne cette impression , qu'on a déjà vu ça quelque part , justement dans la même année , mais dont le coût à la production est beaucoup plus élevé que celle "Leader

Cinematografica Visione Cinematografica Filmline" (ça , quand on à pas le même budget !!! ). Oui , vous l'avez deviné , il s'agit bien de ce film lancé par De Laurentiis Dont John Milius mettra en scène : "Conan the Barbarian" .

"Sangraal" est bien le parent pauvre de l'œuvre réalisé par Millius , mais aussi dans sa quête d'une terre promise à un "Moïse" (façon mini-série des associations productives d'ITC et LA RAI en 1973/1974) , car comme eux , ce Sangraal (Peter McCoy , mais par souci du détail , appelons le Pietro Torrisi), est un rescapé d'une annihilation de la terre son père fut roi .

Ça raconte quoi ! Bah , je crois qu'on s'en fout un petit peu , disons que l'histoire va un peu se répéter à travers ce dernier rescapé devenant un homme qui défiera et provoquera les éléments . Il s'entourera de quelques rescapés de son peuple dont parmi eux , il choisira une femme . il les emmènera à la recherche d'une terre qui les mèneront vers la paix . Et ça se fera tout en se battant et repoussant à une horde de malfrats s'en prenant à une troupe de berger . Tout naturellement , le chef du village remercie ses sauveurs tout en accueillant notre Moïse/Conan en unissant son peuple avec eux du chef du village à repousser les forces du mal . Mais voila ,une belliqueuse déesse voit (Margareta Rance) du haut de son royaume de la mort ses prêtres se faire massacrer par Musclor euh "Sangraal" , et elle est pas contente . Elle réclame vengeance au prés de son serviteur et esclave (Mario Novelli) , chef d'une meute . Celui-ci promet à sa déesse qu'il ne retrouvera la paix que lorsque les flammes bruleront sur le corps maudit de Sangraal . Bref, ce sera du velours (ha!ha!ha!) , y'a du soleil et des nanas ( re-ha!ha!ha!) . Vengeance sera donc accompli du retour de cette bande d'affreux barbares aux ordres de cette belliqueuse déesse , et ils vont s'en fourrer jusqu'à là (😄😄😄😄 ) . Donc , ce roi ("Sangraal" ) qui à peine s'installa dans cette terre fertile , bonne pour la culture et la chasse dont la vie sera douce ou ce peuple pourra élever leurs enfants en paix , voit ce village se faire attaquer , tout en tombant dans un piège dans cette bataille .. Constituer prisonnier , il assistera tout impuissant au sacrilège à cette tribu attaquée qui l'accueillit comme un roi. De la , Sancouille ... euh ... "Sangraal" , mettra tout en œuvre pour mettre fin aux exactions du chef des brigands , le vrai méchant du film, qui a fait plus que bobo à la région et en fera de même pour tout les autres . Notre héraut alors , est en cours de quête de sa vengeance , accompagné de la seule rescapée du village et fille du défunt chef ( Yvonne Fraschetti) , et d'un étrange au homme au visage étrange au yeux (Hal Yamanouchi) qui ne voit sans doute pas bien (dit comme ça dans le texte de la bouche de celle qui joue la potiche .. euh .. de la fille rescapée du village). Comme Ulysse , nos trois aventuriers , affronteront dans leur pérégrination sauvageons et autre scélérats , jusqu'à notre homme des cavernes (l'ami Sang' , c'est mon poto) arrive à une ... caverne (tout est sous contrôle) , gardée par une autre déesse (Sabrina Siani) , et qui doit affranchir une ultime épreuve , pour recevoir sa récompense qui sera de "taille" (NON ?) :

Une Énorme Arbalète , qui finalement ne servira à rien pour affronter " Mister Bad Guy" . Mais , qui en revanche servira contre la Déesse de la mort , dont le retour de flamme sera terrible contre elle (elle est pas mal celle là ?) .

L'histoire bégaye , l'histoire se répète . Et on retient quoi ? Rien !

Si l’homme est « une machine à tuer », il est aussi capable de coopération, qualité qu’il est plus que temps de mettre en branle. Bref , comme le disait l'autre : " La terre a des limites, mais la bêtise humaine est infinie " .Et je vous laisse réfléchir la dessus .


GnM
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Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste ces films considérés comme des navets que je qualifie de chefs d'œuvres

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le 21 oct. 2023

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GnM

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