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Idiot, mais riche
Je comprends maintenant, après avoir découvert ce film, pourquoi sans filtre a obtenu la Palme d'Or. C'est tout simplement le talent d'un réalisateur suédois, Ruben Östlund, qui réussit la...
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le 17 oct. 2022
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Triangle of badness
J'avoue que je ne m'attendais pas à grand chose, et je ne suis pas si déçu que ça. Le découpage en actes aide à tenir sur la longueur, mais il n'empêche que le ventre mou (aka l'acte 2) a peu d'intérêt, à part d'être cracra. Heureusement, l'inversion des rôles dans le dernier acte devient une critique assez intéressante du capitalisme et du patriarcat, bien que le propos reste pessimiste (voire contradictoire).
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Écrit par
Créée
le 20 janv. 2024
Critique lue 12 fois
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