En ce moment, quand on aperçoit ce bon Liam Nesson, on se dit que ça va envoyer de a bastonnade. Ducoup là on est un peu perturbé, puisque le film commence lentement, en posant de rares repères, en se montrant assez malin sur quelques points, qui parviennent même à faire douter.
Sachant pertinemment qu'on est toujours déçu quand vient le twist, qu'on trouve ça bien trop léger comparé au mystère qui va crescendo durant tout le film, on prend du recul. Faîtes moi confiance, vous pouvez reculer. Encore. Encore.
D'un seul coup d'un seul, on dirait que Luc Besson débarque dans le film en faisant un roulé boulé armé de deux lance-navets. Et qu'il arrose tout le monde. Unknown devient Unknown max-limit-break-the-sky, et tout fout le camp en quelques claquements de doigts.
C'est dommage, parce que techniquement c'est honnête.