Scarecrow (2002)
Un gamin se fait tuer par un amant de sa mère bourré c'est vraiment pas de pot.
Il revis sous la forme d'un épouvantail, la terreur va s'abattre sur votre dos.
Difficile de deviner que le plus grand assassins à pour but premier de faire fuir les oiseaux.
Préparez vos serpes, enfilez de la paille dans vos manches, il est l'heure de regarder Scarecrow.
Bonjour à tous amis de l'angoisse, aujourd'hui attaquons nous à Scarecrow de Emmanuel Itier à qui nous devons Femme, Attila ou The invocation. Alors qu'il est maltraité par ses autres camarades, Lester va se faire tuer par un amant de sa mère, bien décidé à ce que la mort ne l'arrête pas il va revenir sous la forme d'un épouvantail pour se venger. Bon, autant vous le dire, il ne s'agit ni d'un chef d'œuvre ni à proprement parlé d'un bon film mais malgré tout ses défauts je l'ai trouvé attachant, l'histoire est basique tout comme les décors qui reste agréable nous rappelant les anciens slashers avec sa petite ville et ses champs de mais, les personnages sont de vrais caricatures et pas pour le meilleur et les effets spéciaux s'avère plutôt moyens même si il reste le charme des effets faits mains, les morts sont variées et plutôt marrantes grâce à l'humour de l'épouvantail qui certe pourrait paraître très lourd mais qui ne ma personnellement pas dérangé au vue du côté très nanardesque du film, les doublures françaises ne sont pas très bonnes notamment celle de l'épouvantail, un détail que j'ai trouvé ridicule mais très drôle c'est la souplesse de l'épouvantail qui se déplace comme ci il pratiquait le parcours. Au niveaux des acteurs on ne peut pas dire qu'ils brillent par leurs jeux que se soit Tiffany Shepis, Tim Young ou Roxana Bina, le meilleur restant sûrement Todd Rex qui incarne l'épouvantail. Bref, un film que je ne peut pas vraiment vous conseiller car il n'est pas bon mais qui pourrait combler les fans de nanards du début à la fin, allez tchuss crevez tous Mouhaha 😈😈😈.
Lester est un jeune qui n’a pas de chance dans la vie.
Il vit dans une caravane avec sa mère alcoolique. Taillé comme une crevette, il est la risée des sportifs de sa classe. Timide, il n’en touche pas une avec les filles. Artiste (dépressif) dans l’âme, il se fait hurler dessus par ses professeurs.
Autant dire que lorsque le pauvre Lester meurt étranglé au pied d’un épouvantail par l’amant demeuré de sa mère, son esprit n’a qu’une envie: se réincarner dans le corps empaillé pour se venger de tous ces salopards...