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Jubilatoire
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Séraphine par Emma_nuelle
Séraphine, domestique dans les années 1900, solitaire et introvertie, peint dans sa chambre de bonne.
Elle fabrique elle-même ses pigments à partir de plantes, de terre, de sang. Elle travaille beaucoup, au service de plusieurs famille comme domestique, pour se nourrir, se loger et acheter du matériel de peinture...
Le mobile était vraiment épatant pour faire une très bon film : une belle histoire, une personne singulière douée d'une grande liberté et animée d'un incroyable talent, et surtout l'improbabilité de sa rencontre avec son mécène.
Mais bon, le film ne porte pas, n'emporte pas, n'exprime pas la folie, le besoin viscéral de peindre, la fulgurance de sa créativité, la condition de l'artiste "femme" au début du siècle dernier.
Il n'en demeure pas moins que Yolande Moreau dans l'interprétation de ce personnage est magnifique, vraie, solaire.
Elle fabrique elle-même ses pigments à partir de plantes, de terre, de sang. Elle travaille beaucoup, au service de plusieurs famille comme domestique, pour se nourrir, se loger et acheter du matériel de peinture...
Le mobile était vraiment épatant pour faire une très bon film : une belle histoire, une personne singulière douée d'une grande liberté et animée d'un incroyable talent, et surtout l'improbabilité de sa rencontre avec son mécène.
Mais bon, le film ne porte pas, n'emporte pas, n'exprime pas la folie, le besoin viscéral de peindre, la fulgurance de sa créativité, la condition de l'artiste "femme" au début du siècle dernier.
Il n'en demeure pas moins que Yolande Moreau dans l'interprétation de ce personnage est magnifique, vraie, solaire.
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le 1 sept. 2010
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