Mars arnacks!
En fait, tu croyais Matt Damon perdu sur une planète inconnue au milieu d’un trou noir (Interstellar) avec Sandra Bullock qui hyperventile et lui chante des berceuses, la conne. Mais non, t’as tout...
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le 11 oct. 2015
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Voici un pur produit américain.
Tout les facteurs sont présent pour vendre a grande échelle sur le grand écran le nombrilisme sempiternels américain. Cette critique est plus une critique complémentaire a tout ce que j'ai pu voir jusqu'ici car des critiques négatives il y en a de très complètes mais j'ai pu voir a chaque fois comme point positif la beauté esthétique du film…
Pour être franc mise a part les quelques plans de décors transitifs acceptables ou l'on voit uniquement des plans de paysages martiens je n'ai pas trouvé l'esthétique exceptionnelle.
(L'odyssée de l'espace de Stanley Kubrick est nettement supérieur visuellement et rappelons le il date de 1968 !)
La plupart du film se focalise avec des gros plans sur la tête de Matt Damon et d'autres plan sur la navette spatiale qui lui sert de refuge.
De plus il y a une touche de légèreté complètement irréaliste qui accentue encore plus la mégalomanie américaine dénué de toute émotions (Matt Damon a bien était choisie). Certains y voient plutôt un coté positif a cette légèreté du film mais soyons sérieux deux minutes, on se foutrait pas un peu de notre gueule quand on sait que le film a remporter deux prix :
Alors qu'est-ce qu'on essaye de nous vendre hormis un produit a la mode autant par le thème, le choix de l'acteur, les technologies utilisées (exemple : camero gopro) et une fin prétentieuse ?
Car sans ces paramètres ce film est un téléfilm sympatoche qu'on regarde après une journée corsée pour se détendre et s'endormir devant. Rien de plus.
Créée
le 22 févr. 2016
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