Director’s cut
Disparu. L’Enfer des armes de Tsui Hark est une œuvre mythique à elle toute seule. Troisième et dernier film de Tsui Hark de sa période dite « en colère », l’original est interdit par le comité de...
Par
le 31 janv. 2013
32 j'aime
2
Connu également sous le titre anglais New Lucky Seven, ce Seven Sexual Maniacs ne s'avère donc pas bien folichon. Je dois avouer l'avoir vu sans sous-titres. De coup, la compréhension de certaines situations ne se fait pas au mieux. Si l'on passe à côté de certaines répliques qui peuvent faire mouche, le reste est de nature conventionnelle. Les mimiques et gestuelles auxquels on assiste remplacent aisément tout les mots. Nous sommes devant une comédie « déjà-vu » ici et là. Il n'y a donc pas de surprise. On se laisse porter par cette histoire banale à l'humour souvent gras qui n'évite pas l'ennui et ce même avec des acteurs qui semblent réellement s'amuser. Je regretterai pour ma part le peu de mise en valeur de l'actrice Fan Oi-Git qui joue ici une prostituée aveugle.
Seven Sexual Maniacs offre un spectacle oubliable et d'une qualité médiocre. Si l'on compare le film à certaines productions similaires, l'ensemble table sur un érotisme où il y a peu de nudité au final, avec une seule et unique « scène de chambre » (alors que le film se déroule principalement dans une chambre !). Ce film de Law Kei est surtout porté sur la comédie dont il faut encore être réceptif. Tout les Charlie Cho et autre Stuart Ong de la Terre ne sauveront pas cette production de Joe Wong (Hidden Desire, 1991). Poubelle.
(voir peloche et + : https://hongkongmovievideoclub.wordpress.com/2012/03/03/seven-sexual-maniacs-1994-law-kei-avis-critique-review/)
Créée
le 4 mars 2012
Critique lue 552 fois
2 j'aime
Du même critique
Disparu. L’Enfer des armes de Tsui Hark est une œuvre mythique à elle toute seule. Troisième et dernier film de Tsui Hark de sa période dite « en colère », l’original est interdit par le comité de...
Par
le 31 janv. 2013
32 j'aime
2
The Murderer commence dans le Yanji, ce début de film est d’un aspect quasi documentaire, Na Hong-jin nous montre une région aux immeubles vétustes et sinistres. Il y a une misère palpable qui...
Par
le 11 févr. 2013
31 j'aime
2
Kim Jee-woon réalise une pépite de style. La réalisation a du style comme son personnage principal (Lee Byung-hun). Tout y est stylé, les plans, les costumes taillés, la belle gueule du héro...
Par
le 28 mai 2013
31 j'aime