Director’s cut
Disparu. L’Enfer des armes de Tsui Hark est une œuvre mythique à elle toute seule. Troisième et dernier film de Tsui Hark de sa période dite « en colère », l’original est interdit par le comité de...
Par
le 31 janv. 2013
32 j'aime
2
Sex and Curse joue la carte du film fantastique avec fantôme et force spirituelle mais pas que. Taoïsme et corps possédés sont donc de la partie et se perdent dans un softporn qui offre son lot de scènes de nudité et de sexe : douche, threesome, duo lesbien et j’en passe. On notera pour l’occasion que plusieurs actrices donnent de leur personne. Un melting-pot (s’il en est un) hasardeux qui joue donc la multicarte entre situations dramatiques et comiques. Le final va jusqu’à nous offrir un affrontement en one to one entre Charlie Cho et ce brave William Ho. D’ailleurs, ce climax final à la fois martial et aérien fonctionne plutôt bien, à défaut d’être correctement chorégraphié. L’essentiel étant le plaisir qu’on parvient à trouver. Mais Sex and Curse n’échappe pas aux défauts attenants à ce type de production fait à la va-vite et pour un budget dérisoire. Jeu d’acteur approximatif comme son intrigue. Ne parlons pas de l’arc qui met en scène Ken Tong en mode touriste avec des scènes de remplissages, essentiellement humoristiques (encore faut-il apprécier ce type d’humour bas du front, bas de la ceinture). Un personnage seulement justifié par le fait qu’on le retrouvera au dénouement final. Et qu’il fallait bien un personnage pour étoffer cette dernière partie. De ce fait, Sex and Curse se mélange aux nombreux Cat. III combo érotique + genre éparse sans réelle inspiration et talent.
(voir peloche et + : https://hongkongmovievideoclub.wordpress.com/2015/05/18/sex-and-curse-1992-lam-gam-fung-avis-review/)
Créée
le 3 sept. 2015
Critique lue 176 fois
3 j'aime
Du même critique
Disparu. L’Enfer des armes de Tsui Hark est une œuvre mythique à elle toute seule. Troisième et dernier film de Tsui Hark de sa période dite « en colère », l’original est interdit par le comité de...
Par
le 31 janv. 2013
32 j'aime
2
The Murderer commence dans le Yanji, ce début de film est d’un aspect quasi documentaire, Na Hong-jin nous montre une région aux immeubles vétustes et sinistres. Il y a une misère palpable qui...
Par
le 11 févr. 2013
31 j'aime
2
Kim Jee-woon réalise une pépite de style. La réalisation a du style comme son personnage principal (Lee Byung-hun). Tout y est stylé, les plans, les costumes taillés, la belle gueule du héro...
Par
le 28 mai 2013
31 j'aime