Sex and Zen 2 par Alligator
Le premier n'est pas vraiment affriolant, à tout point de vue. Celui-là ne déroge pas à cette règle.
Une caméra montée sur roulis, constamment désaxée de façon à vous donner une franche nausée, des couleurs criardes bleutées et des jeux de lumières pas chers, le film a tout d'un téléfilm.
Quant à la vulgarité du propos, il pète à la figure et progressivement on s'en afflige sagemment, en attendant la fin.
Comment vais-je faire pour voir le troisième opus? Je crois que je ne vais pas y parvenir. Je démissionne.