C'est bizarre, les jolies japonaises ont souvent une mauvaise dentition (je n'ose imaginer la cause)

J'ai envie d'être indulgent avec ce film. Peut-être parce que les héroïnes japonaises sont assez sexy et le plus souvent dévêtues.

Parce qu'il est vrai que le scénario est mauvais. L'histoire n'est pas claire, ça manque de surprise. MAIS. Il y a aussi de bonnes idées. Et j'ai surtout l'impression que les maladresses visuelles ainsi que les limites du scénario sont la conséquence d'un budget restreint. On voit bien à la qualité des acteurs et de l'image qu'il n'y avait pas baaucoup d'argent en jeu. Et en plus il y a des effets spéciaux. Tout ce qui est numérique est très mauvais, mais certains maquillage restent encore sympathique (le téton coupé par exemple). En ce qui concerne le découpage ce n'est franchement pas atroce : l'actione st lisible, les angles de vue pas dégueux.

Vraiment, je maintiens : avec un budget plus lourd, Takao Nakano aurait pu faire quelque chose de vraiment bien.

Enfin, ajoutons que la nudité dans un film japonais, ce n'est jamais simple : l'auteur parvient à suggérer certaines actions ; pour d'autres, il se contente de flouter les parties intimes (et oui au Japon, montrer ses parties intimes à la télé est un crime).

Bref, "Sexual Parasite : Killer Pussy" perd de sa force à cause d'un manque de budget mais laisse entrevoir ce que ça aurait pu être.
Fatpooper
4
Écrit par

Créée

le 12 sept. 2013

Critique lue 991 fois

3 j'aime

2 commentaires

Fatpooper

Écrit par

Critique lue 991 fois

3
2

D'autres avis sur Sexual Parasite: Killer Pussy

Sexual Parasite: Killer Pussy
di4bl0
1

De l'usage des préservatifs

Ca ferait une super campagne de prévention contre les MST. J'adore la fin, c'est grandiose. Je ne vous spoilerai pas (sinon c'est pas drôle) mais franchement le combat final s'acheve de la manière...

le 21 juil. 2018

Du même critique

Les 8 Salopards
Fatpooper
5

Django in White Hell

Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...

le 3 janv. 2016

122 j'aime

35

Strip-Tease
Fatpooper
10

Parfois je ris, mais j'ai envie de pleurer

Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...

le 22 févr. 2014

119 j'aime

45

Taxi Driver
Fatpooper
5

Critique de Taxi Driver par Fatpooper

La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...

le 16 janv. 2011

107 j'aime

55