Le jet d'ail.
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Une nouvelle fois dans une production de la Shaw on voit deux écoles s’affronter. L'une va écraser l'autre, avec de gros méchants qui se servent de leur kung-fu pour tuer. Mais comme tout bons disciples qui se respectent certains vont vouloir venger leur école de Shaolin. On va donc voir l'entrainement de deux personnages. Et si la trame reste fort classique le film devient plus intéressant à cet instant. C'est Gordon Liu et un autre comparse qui partent à la rencontre de maitres, ceci dans le but de parfaire leur kung-fu. On pourrait se dire à ce moment là que le destin du film est plié, seulement Gordon Liu est au début de sa carrière, il n'est pas la star. Et même si ces deux disciples se sont entrainés, ils n'ont pas le niveau pour affronter l'école adverse. Il ne suffit pas d'avoir toute la bonne volonté du monde pour se lancer dans un tel affrontement, il faut être le meilleur. C'est au tour de deux autres disciples de partir sur les traces de maîtres du kung-fu capable de leur apporter la victoire espérée. Une nouvelle fois le film va suivre cet entrainement de deux différentes techniques. Si le schéma se répète Chang Che a suffisamment de savoir faire pour ne pas lasser. D'ailleurs il est certain que Tarantino a pioché dans ce film pour son passage de Kill Bill 2 avec Pai Mai, puisque les élèves apprennent la même technique de combat. L'un d'eux s'entraine sur une planche qu'il doit casser en se tenant au plus près d'elle. Il y a même le passage du repas dans lequel le disciple n'arrive pas à tenir ses baguettes pour manger son riz. L'emprunt est carrément flagrant. Tout n'est pas exactement pareil, mais l'original reste mieux que la copie. Si ce n'est pas la plus marquante des productions de Chang Che, ça n'en reste pas moins efficace et prenant.
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Créée
le 27 déc. 2021
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