Anthony C. Ferrante a décidé d’aller au bout. Notamment avec ce Sharknado 5 alors que le 4éme semblait clotûrer le tout dans un gros bordel…
Les états-unis, c’est fini. Détruits, ils ne peuvent plus rien faire mais les Sharknado défilent sur le monde. Fin et son équipe vont alors s’y atteler…
Mais pas tout seul ! Ils sont accompagnés de caméos plus ou moins sympa cette fois ! Tony Hawk, Olivia Newton-John, Dolph Lundgren ou encore Natoo et Kemar ! Mais n’espérez pas pour autant, ça reste trés mauvais par choix. L’entreprise est donc toujours aussi cynique, cherchant à faire n’importe quoi pour le plaisir de se dire « nanar » alors qu’l ne s’agit que de navet volontaire. Ce qui n’est en aucun cas glorieux.
Le résultat reste fait d’un scénario minable, de développements de personnages à jeter, de dialogues honteux et d’effets visuels foireux. Mais, pire que pour leurs mockbusters, ici tout cela n’a que pour but de contenter un public qui ne connait pas forcément le cinéma nanrdesque réel. Non, ici on est dans une autre dimension. Celle dans laquelle on se moque d’un public qui en plus se laisse faire. Joie.