Sherlock Holmes : Jeu d'ombres par Bertrand Mouden

Tout aussi bourrin et décérébré que son prédécesseur, déjà signé par un Guy Ritchie en roue libre, Sherlock Holmes 2 : Jeu d'ombres vient s'ériger comme le nouveau modèle de la disette créative...

Le premier épisode, malgré les abominables saloperies de mise en scène de Guy Ritchie se laissait presque regarder grâce au charme du couple principal, au frais minois d’Irene Adler, à un Mark Strong...

Illustrer la lutte intellectuelle entre deux génies dans le cadre d'un blockbuster se devant d'être accessible à tous. Énoncé ainsi l'exercice est casse gueule au possible. Alors plutôt que d'essayer...

Incompréhensible si l'on n'a pas les paroles sous les yeux... mais quelle rime, quelle poésie.Magnifique Duo avec Louise Forestier

En intro une nuit torride téléphone rose avec tous les détails. Après … nuit tiède orgasmique avec une voix. L'ordi préfère qu'on lui mordille l'oreille plutôt qu'une defragmentation de son disque...

Un début comme on les aime. Suspens action émotion, gadget et déduction et puis cela devient long… C'est long, c'est long!… le frère de Sherlock ( mais que diable fait il tout nu…) le mariage de...