Sherlock Holmes. Un personnage aux multiples interprétes cinéma. Ben Syder est le moins connu. On se demande bien pourquoi…
Quand une pieuvre géante, ou encore un dinosaure, font parler d’eux à Londres, Sherlock ne peut croire à l’existence de ces monstres. Alors il enquête…
Il faut dire que l’affiche bien foutraque ne laisse pas envisager le meilleur. Dinosaure, dragon, pieuvre géante. Mais où donc nous améne ce Sherlock Holmes ? En réalité, si le personnage n’est pas trop mal adapté en terme de personalité, le film se foire totalement sur le reste. Caricatural au possible, mal interprété, et surtout jouant d’une intrigue incohérente sur bien des points, ce Sherlock Holmes est de loin la pire chose qui soit arrivé au personnage.
S’inventant un frére absent des écrits, avec un Watson loin des histoires de Doyle, et un Lestrade tout aussi éloigné (et bizarrement trés apprécié ici par Holmes), ce film est sorti pour copier celui de Guy Ritchie. Entre les deux, il n’y a clairement aucun choix à faire, le Ritchie est bien au dessus de cette pâle imitation…