Fort du succès de leurs premiers albums (Leisure, Modern Life is Rubbish, et surtout Parklife), Blur joue leurs hymnes britpop devant une masse de jeunes londoniens désireux de profiter de leur jeunesse et d'oublier le conservatisme qui règne alors dans l'Angleterre de Margaret Thatcher et John Major. Soutenu par Graham Coxon, Dave Rowntree et Alex James qui tiennent la baraque, Damon Albarn, vraisemblablement sous l'emprise de substances peu licites comme à son habitude pendant ses performances scéniques, assure un show dynamique, voire survolté par moments, qui ne manquera pas de plaire aux nostalgiques des nineties.

DarkSidofthMoon
7
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Odyssée Cinématographique

Créée

le 16 avr. 2017

Critique lue 113 fois

DarkSidofthMoon

Écrit par

Critique lue 113 fois

Du même critique

The Great Escape
DarkSidofthMoon
7

On ne peut faire qu'un Parklife

Les albums faisant suite au chef d'oeuvre d'un groupe se répartissent selon deux catégories: -Ceux qui sont à la hauteur de leur illustre aîné (à titre d'exemples, on peut mentionner Kid A...

le 25 juil. 2023

5 j'aime

Stupeflip
DarkSidofthMoon
5

Un univers pas si stupéfiant.

Véritable OVNI du hip-hop français, Stupeflip débarque dans la sphère musicale avec un premier album éponyme mêlant rap, rock à influence très punk et des synthétiseurs loufoques. Il faut bien...

le 28 avr. 2017

3 j'aime

Les Adieux à l'Olympia (1966)
DarkSidofthMoon
9

Le Grand Jacques

Habité par une énergie dévorante, Jacques Brel livre un concert d'anthologie, où chaque chanson prend vie sur scène (mention spéciale à la remarquable interprétation de Ces gens-là), comme pendant...

le 14 avr. 2017

2 j'aime

2