Pure de jouvence
Après la parenthèse Babysitter qui adaptait une pièce préexistante, Monia Chokri semble renouer avec la comédie sentimentale en forme d’autoportrait qu’était La Femme de mon frère, son premier long...
le 16 nov. 2023
74 j'aime
4
Voir le film
Avec une mise en scène inventive à l'esthétique rayonnante, Chokri sonde les limites du désir, entre l'instinct charnel et la distance cérébrale. Dommage, malgré les qualités du film, que tout se finisse dans un déterminisme attendu.
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Festival de Cannes 2023 et Décembre 2023 / Cinéma
Créée
le 2 déc. 2023
Critique lue 19 fois
D'autres avis sur Simple comme Sylvain
Après la parenthèse Babysitter qui adaptait une pièce préexistante, Monia Chokri semble renouer avec la comédie sentimentale en forme d’autoportrait qu’était La Femme de mon frère, son premier long...
le 16 nov. 2023
74 j'aime
4
Monia Chokri conte l'attirance entre une universitaire en philosophie maquée (on a le droit à plusieurs pensées de philosophes, comme Platon ou Spinoza ou Sardou, sur ce qu'est l'amour !) et un...
Par
le 10 nov. 2023
37 j'aime
9
Monia Chokri est en phase de devenir une cinéaste incontournable du paysage cinématographique québécois! Après deux œuvres à la fois très différentes (par leur sujet) et similaires (par la manière...
Par
le 4 oct. 2023
24 j'aime
5
Du même critique
Indispensable pour son sujet et ce qu'il témoigne des violences sexuelles faites aux mineurs. Mais, comme objet de cinéma, hormis les inventions exportées du théâtre, il n'invente rien. Et...
le 20 nov. 2018
8 j'aime
8
De la Nouvelle Vague d'où L.Garrel tire sa filiation, il n'en reste ici que peau de chagrin. Exit la légèreté, le dilettantisme, la gracilité de Truffaut ou Rohmer. Bonjour le sérieux de pape d'un...
le 7 janv. 2019
8 j'aime
La puissance de cet EP, derrière la modestie de son contenu, tient à la sagace composition de ses beats, entre rap, hip hop et dubstep franc, et à la plume aiguisée et percutante de son auteur,...
le 25 mai 2017
8 j'aime