L'Australie devient de plus en plus un repère de gros navets.
Que ce soit dans les drames romantiques ou les films d'horreur, Sissy vient confirmer la règle.
Et cela dès les premières minutes où Cecilia retrouve son ancienne meilleure amie, alors qu'elle est devenue une influenceuse reconnue et pour laquelle sa rencontre, 12 ans après, va lui faire retomber dans ses travers lors d'un voyage d'un enterrement de vie de jeune fille. Et clairement, les teen movies autour des réseaux sociaux, du monde de l'influence sont tellement cliché que je sais à quoi m'attendre. Les personnages sont superficielles, attachées à leur enfance avec des flashbacks incessants notamment ceux de Sissy, qui est décrit au début comme une fille sympathique mais qui face à ses anciennes connaissances va devenir pire qu'une tueuse à gages, la preuve que le film joue quand même bien sur ce rôle principal de Sissy et la nuance entre elle et ses autres anciennes amies. Par contre,
on peut souligner la nullité des différentes morts des personnages - entre un accident avec une des amies, une mort dans une cascade d'eau ou une noyade dans une baignoire.
La fin et un duel final sans surprise m'a rendu totalement fou car le personnage de Sissy s'en sort trop bien. Alors que...