Alain Berbéran m'a fait hurler de rire avec les nuls,
et un des nombreux dialogues cultes parlent de "Sérial Killer"...
6 ans après le réalisateur s'aventure donc dans le polar de "Sérial Killer"
Autant le rire était volontaire dans la cité de la peur, autant les sourires sont involontaires vu le thème, mais démontre que Berbérian est plus à l'aise dans la parodie.
Six-Pack c'est l'histoire d'un flic qui découvre l'existence d'un terrible tueur en série, et décide de le chasser.
Après avoir découvert son identité, il franchit lui même les interdits pour le serrer comme on dit.
Mais à jouer avec le feu on finit par se brûler.
Le suspense du film est quasi inexistant, un comble pour le genre, et la distribution pourtant prestigieuse est également une raison de ce raté.
Quelques perles cependant, comme par exemple, Bernard Fresson qui parle des serial killer avec passion et accent américain.
A déguster sans aucune modération.
Pour le reste, il vaut mieux allez vers le Silence des Agneaux ou Seven dans le genre ce sont les must, alors que Six-Pack lui dans le genre, est un bide.