Sixième Sens par Ciné Water
Y a un énorme défaut au Sixième Sens, son twist ending.
Certes, c'est également là sa grande qualité, clairement même. Mais voilà, ce réalisateur au nom imprononçable, adore jouer avec ce genre de figures de styles scénaristiques.
Twist ending ? Entendez retournement de situation, en général assez saisissant, dans la dernière partie du film.
Fight Club, vous avez vu ? C'est ce principe. L'armée des 12 singes, la Planète des singes également. Pour Psychose, Hitchcock interdisait de raconter ce qu'on avait vu, bel argument publicitaire.
Alors c'est clair dans le Sixième Sens il est extrêmement bien fichu, un vrai cas d'école, le film en lui même de toute façon est bien fichu, les acteurs, tout. En tout cas dans mes souvenirs de l'époque, je n'arrive pas à le revoir depuis. Ca fait donc 11 ans.
Bah oui, c'est ça le problème. L'intérêt repose essentiellement sur sa fin.
Si vous ne l'avez jamais vu, installez vous confortablement, vous risquez d'adorer et profitez en, ce film est comme vous... Il ne vit qu'une fois.