Un avenir sombre
Sympa.C'est un portrait sans concession qui est fait ici, contrairement aux films sociaux habituels où l'on nous laisse penser qu'il y a un espoir, qu'il suffit de mettre un gosse entre les mains...
Par
le 23 juil. 2024
1 j'aime
Sympa.
C'est un portrait sans concession qui est fait ici, contrairement aux films sociaux habituels où l'on nous laisse penser qu'il y a un espoir, qu'il suffit de mettre un gosse entre les mains d'assistants sociaux pour que tout aille mieux. Ici, c'est sombre, mais c'est fort et on évite le misérabilisme car des choses sont mises en place et l'auteur parvient à donner l'illusion que ça pourrait bien se terminer. Les personnages secondaires ne sont pas délaissés, on y trouve de l'intérêt aussi. Mais c'est bien le personnage principal qui mène le show, même s'il est souvent passif, on découvre que tout se chamboule dans son entourage, malgré lui, souvent à cause de ses parents qui prennent trop de place.
La mise en scène est sobre mais réfléchie et pertinente ; le découpage est lisible et reflète les intentions narratives. Les acteurs sont tous très bons. Les décors sont bien choisis et bien exploités. Le montage est plaisant ; commencer par la fin a quelque chose d'intéressant, car lorsqu'on revient à cette séquence à la toute fin, on se dit qu'en fait, tout n'est pas vraiment derrière lui comme le laisse présager la structure en flashback. Les effets spéciaux sont convaincants, la scène gore finale est assez réussie, pas trop trash mais juste dans ce qu'elle montre.
Bref, chouette petit drame.
Créée
le 23 juil. 2024
Critique lue 75 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Skunk
Sympa.C'est un portrait sans concession qui est fait ici, contrairement aux films sociaux habituels où l'on nous laisse penser qu'il y a un espoir, qu'il suffit de mettre un gosse entre les mains...
Par
le 23 juil. 2024
1 j'aime
Du même critique
Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...
Par
le 3 janv. 2016
122 j'aime
35
Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...
Par
le 22 févr. 2014
119 j'aime
45
La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...
Par
le 16 janv. 2011
107 j'aime
55