Un homme solitaire gère un réseau international de trafic sexuel sur le dark web sous le nom de "Lolita Slave Dolls". Les victimes kidnappées y subissent différentes formes de tortures, viols, mutilations et autres prélèvements d’organes dans le but d’être vendus ou simplement pour assouvir les désirs des clients les plus dépravés…
Pour les amateurs de films déviants tels que ceux de Marian Dora, Lucifer Valentine ou encore la franchise Guinea Pig, la nouvelle réalisation de David Stojan devrait combler vos attentes, pour les autres, ce sera la douche froide. Slave Dolls (2023) est un condensé de bullshit pseudo underground où l’érotisme pervers et le malsain poussé à l’extrême se côtoient.
Pendant tout juste 60min, le réalisateur se complait à filmer (sans le moindre dialogue) toutes sortes de dépravations et autres mutilations. Le protagoniste principal s’amuse à torturer des poupées, à les éventrer et à les éviscérer et quand il ne se fait pas la main sur un jouet, c’est sur une vraie victime qu’il s’adonne à ses plus bas instincts. Il faut avoir le coeur bien accroché car la victime se fait charcuter pendant un bon bout de temps et en gros plan
(arrachage de dents et coupage de langue, avec une certaine insistance sur l’entrejambe de la demoiselle qui se fait littéralement tranchée au couteau les grandes et petites lèvres de la vulve).
Bref, tout un programme à réserver aux aficionados de l’extrême…
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