Jungle Fever
Brillante Mendoza, entre réalité et fiction livre le quotidien des Tiradors, voleurs des bidonvilles philippins. La caméra est alerte, la qualité vidéo. La police fait une descente surprise dans un...
le 26 déc. 2013
1 j'aime
Tirador s’engage sur la voie de ces films dit « réaliste ». Un profond réalisme fictionnel que son auteur transmet par une économie de moyen. Ainsi, Brillante Mendoza avec sa seule caméra numérique s’accroche au basque de ces individus dont il dépeint le quotidien. Il les filme au plus prêt, les accompagne, nous invite à les accompagner dans leur triste sort en totale immersion. Il témoigne avec un regard terrible d’une époque, d’une situation qui s’apparente à un point de non-retour des plus pessimiste qui soit. Tirador touche, l’œuvre marque et ne laisse pas indifférente. Son aspect trop « documentaire » pourrait rebuter pourtant elle offre une proximité sans égale. Nous sommes ces tiradors, ces gens qui souffrent, nous sommes Quiapo, nous sommes Manille. Nous sommes l’œil de Brillante Mendoza…
http://made-in-asie.blogspot.fr/2009/12/tirador-slingshot-brillante-mendoza.html
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 17 oct. 2012
Critique lue 313 fois
D'autres avis sur Slingshot
Brillante Mendoza, entre réalité et fiction livre le quotidien des Tiradors, voleurs des bidonvilles philippins. La caméra est alerte, la qualité vidéo. La police fait une descente surprise dans un...
le 26 déc. 2013
1 j'aime
Nerveux et brulant, une plongée caméra à l'épaule dans la fange des bidonvilles de Manille !
Par
le 30 mars 2022
Dans ce film on suit plusieurs petites histoires se déroulant dans les bas quartiers de Manille. Tout d'abord le fil de l'histoire est très décousu, les scènes passent de l'une à l'autre sans aucun...
Par
le 20 août 2017
Du même critique
Disparu. L’Enfer des armes de Tsui Hark est une œuvre mythique à elle toute seule. Troisième et dernier film de Tsui Hark de sa période dite « en colère », l’original est interdit par le comité de...
Par
le 31 janv. 2013
32 j'aime
2
The Murderer commence dans le Yanji, ce début de film est d’un aspect quasi documentaire, Na Hong-jin nous montre une région aux immeubles vétustes et sinistres. Il y a une misère palpable qui...
Par
le 11 févr. 2013
31 j'aime
2
Kim Jee-woon réalise une pépite de style. La réalisation a du style comme son personnage principal (Lee Byung-hun). Tout y est stylé, les plans, les costumes taillés, la belle gueule du héro...
Par
le 28 mai 2013
31 j'aime