Il ira pas loin cet asticot
Visuellement agréable à regarder (sauf quelques plans inutiles voire malaisants, Shawn Crahan, on a pas besoin de te voir d'aussi près) avec un cadre vraiment plaisant, mais ça pèche pas mal au...
le 17 oct. 2022
Visuellement agréable à regarder (sauf quelques plans inutiles voire malaisants, Shawn Crahan, on a pas besoin de te voir d'aussi près) avec un cadre vraiment plaisant, mais ça pèche pas mal au niveau de l'interprétation : la fougue des débuts avait déjà disparu avant même que feu Paul Gray nous quitte et que (feu aussi, mais pas à l'époque) Joey Jordison soit viré, mais on sent le groupe quand même assez fatigué, et quand on compare même avec les lives de la période Vol. 3: (The Subliminal Verses), album où le groupe entamait son déclin qualitativement parlant mais où il se rattrapait largement sur scène en étant plus fou que jamais, ça fait peine à voir, surtout que comme ça a déjà été dit, on peut repérer quelques soucis de rythme (n'aurait-il pas été possible de jouer Psychosocial et Spit It Out plus vite encore ?).
Tout n'est évidemment pas à jeter, il y a de bons moments comme la communion avec le public sur Before I Forget et Duality, et la présence de raretés comme Prosthetics (quoiqu'on a envie d'y abattre Corey tellement il massacre le truc), Me Inside et Metabolic, cela au détriment de classiques comme Disasterpiece et Eyeless (changements bienvenus ? on peut se le demander) mais rien qui rende l'objet vraiment indispensable.
Créée
le 17 oct. 2022
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