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Sombre
A l’aube, je dessine les traits frivoles de ton geste Qui s'échappe au contour brumeux de ta vie funeste ; Cette obscurité se tait ; se tasse; dévisage mon ennui Pour mieux me nuire. Pour mettre fin...
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le 28 déc. 2014
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A l’aube, je dessine les traits frivoles de ton geste
Qui s'échappe au contour brumeux de ta vie funeste ;
Cette obscurité se tait ; se tasse; dévisage mon ennui
Pour mieux me nuire. Pour mettre fin à mes cris.
Quand tu dodelines sur tes deux pieds volatiles
Je souris en comptemplant nos nuages tactiles,
Ton odeur. Le plaisir éphémère de nos étreintes
Fait ressurgir les fantomes de mes irascibles craintes.
Apre démon, cachant ce mièvre vagabond;
Vive, forte, est l’irruption de mon agonie ;
Je vomis l’impuissance de mes nuits
Dans les brumes. Ce silence moribond.
Par amour, mes mains fléchissent ta sève charnelle
A travers la mort des lueurs d’un antre surréel.
Je scrute. J'épie tes faibles mouvements
Pendant que mon regard hurle sourdement
Impossible de faire naitre des adieux,
N’arrivant pas à me détacher de tes yeux.
C’est alors vacillante, que mon ombre,
S’éparpille dans mon esprit sombre.
Qui s'échappe au contour brumeux de ta vie funeste ;
Cette obscurité se tait ; se tasse; dévisage mon ennui
Pour mieux me nuire. Pour mettre fin à mes cris.
Quand tu dodelines sur tes deux pieds volatiles
Je souris en comptemplant nos nuages tactiles,
Ton odeur. Le plaisir éphémère de nos étreintes
Fait ressurgir les fantomes de mes irascibles craintes.
Apre démon, cachant ce mièvre vagabond;
Vive, forte, est l’irruption de mon agonie ;
Je vomis l’impuissance de mes nuits
Dans les brumes. Ce silence moribond.
Par amour, mes mains fléchissent ta sève charnelle
A travers la mort des lueurs d’un antre surréel.
Je scrute. J'épie tes faibles mouvements
Pendant que mon regard hurle sourdement
Impossible de faire naitre des adieux,
N’arrivant pas à me détacher de tes yeux.
C’est alors vacillante, que mon ombre,
S’éparpille dans mon esprit sombre.
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le 28 déc. 2014
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