D'emblée, les acteurs se prennent trop au sérieux alors que Hans Scholl et sa sœur Sophie paraissent bien naïfs.
Ce réseau de résistance, animé par la morale chrétienne, était anti-communiste comme le Parti national-socialiste [04'48].
Les confidences entre Sophie Scholl et Else Gebel ne paraissent pas vraisemblables et les discussions politiques entre Sophie Scholl et Robert Mohr encore moins [1h01-1h11]. Le film perd toute crédibilité par ce discours construit après coup.
Lire :
• Inge SCHOLL, La Rose Blanche - Six allemands contre le nazisme, 1962 [contient des erreurs factuelles dont certaines sont dues à la traduction].
• Hans et Sophie SCHOLL, Lettres et carnets, 2008.
• La Rose Blanche, 2e Guerre Mondiale [texte original des 6 tracts] - Académie de Nantes [meilleur résumé] - Cercle d'étude de la déportation et de la Shoah [bibliographie et filmographie] - La résistance allemande au nazisme [bibliographie].