(...) La programmation se termine avec Splintertime de Rosto, que j’avais déjà vu par deux fois, à l’Étrange Festival et à Fenêtres sur Courts. J’avais détesté à ces moments, alors je ne me suis pas infligé un troisième visionnage. Si vous êtes tout de même curieux, je vous invite à aller visiter le site de Thee Wreckers, dont ce film est le troisième épisode d’une tétralogie musicale les mettant en scène. Je ne sais plus qui parlait de ça d’ailleurs, mais Splintertime me fait alors le même effet d’une chanson que je n’aime pas. Pas besoin de tergiverser alors sur le ressenti d’une émotion. (...)
Tiré du journal du festival du PIFFF 2015 : lire l'article entier sur mon site...