Il y a un plaisir enfantin à découvrir ce premier tome tant attendu de la saga. Dommage qu'il ne s'embarrasse guère de psychologie : gavé de décors somptueux et de péripéties hélas sans surprise, on doit attendre l'entrée en scène d'un Dark Vador haut comme trois pommes, Anakin Skywalker, et son module fantastique, pour enfin décoller.
Clin D'œil :
Pour représenter le public de la vaste arène (une maquette de taille modeste), où se tient la course de modules volants, les artistes des effets spéciaux ont utilisé des… cotons tiges de couleur pour certains plans.