Lucas vend son bébé à l'empire Disney pour des milliards et des poussières. De ce fait, la souris aux grandes oreilles contrôle à présent l’œuvre de Lucas et carte blanche sur l'histoire etc... Puis, nous apprenons que J. J. Abrams prend le flambeau pour ce premier nouveau volet de la saga. Grosse attente mondiale. Les fans, la presse, et tutti quanti. Puis arrive le trailer, on en salive, ensuite la BA, de même. Reste plus qu'à voir l'intégralité du long-métrage. Bien, a la vitesse de lumière nous sommes pas loin du foutage de gueule intergalactique. Un calque de l'épisode IV. Une plus grosse étoile noire, et un remplaçant pour l'un des plus grands méchant du cinéma, j'ai nommé Dark Vader. Un méchant donc, qui se veut de premier ordre, son nom, Kylo Ren. L'acteur Adam Driver interprète ce personnage. Certes, nous remarquons qu'il parait déranger du crâne, il est de surcroit imprévisible et s'énerve comme un gamin. Sauf que Adam Driver ne donne aucune frayeur, ni charisme, ca reste plat, comme le déroulement du film. Les combats aux sabres sont beaucoup plus traditionnels que dans la prélogie et donc veut se rapprocher de la trilogie d'origine. Mais là aussi ça ne vaut pas le charme des anciens. Le combat final est pitoyable. Il n'y à pas de structure, on assiste juste à des gestes trop de bases, pas un seul coup d'impact ou bien encore de "wow !" ou "whouah !" dans mon esprit. Et la musique comment se porte t-elle ? bon alors il faut croire que Disney nous à gaver de somnifère le génie John Williams, ou est-ce l'inévitable raison la vieillesse qui le gagne ? possible... La composition de ce volet est faiblarde au possible, elle rejoint pas un seul de tout les épisodes précédents. Quand je pense que certains ne peuvent pas s’enquiller les volets sous la réalisation Lucas, au fond tout comme sur la forme, ils sont clairement au-dessus, simplement parce que l'univers qu'il offre est grandiose. Au moins il y avait de la créativité, des vaisseaux différents, des planètes différentes, des compos et chorégraphies dantesque, bref... vive Lucas, tu nous manque. Sinon, que la force soit pour un huitième volet plus encourageant et rassurant.