Plus d’enceintes que de spectateurs à cette première séance du matin.
Accumulation de bandes-annonces et de publicités comme pour persuader les plus récalcitrants à quitter la salle avant le début du film.
Le générique écrit au début de chaque Star Wars est comme un hommage au cinéma muet, puis très vite vient l’action bien bruyante. Ces vaisseaux ne seraient rien sans cette musique.
Un chef d’oeuvre ne se fait pas annoncer à l’avance, n’est pas prévu, il doit surgir par surprise ou renoncer à faire grand. Si sa venue est longuement préparée par le public, le jour de son dévoilement sera son dernier jour, il n’aura été qu’impatience fiévreuse.