Stardust: La misère de la toile
Il me semblait avoir gardé de plutôt bons souvenirs de cette adaptation de Gaiman. Je me rappelle l'avoir vue au ciné à l'époque et avoir passé un bon moment. Et puis hier soir Gulli a tout foutu en l'air.
Remarquez, avant X-Men First Crasse il me semblait aussi que Vaughn pouvait faire des films plutôt bons.
Réalisé avec les pieds, joué par des manches, bénéficiant d'effets spéciaux de téléfilms à faire pâlir Hercule et Xéna, s'asseyant sur les notions d'esthétisme, de cohérence et d'intégrité artisique, cette bouse n'aurait jamais eu une chance pour que je paie 10 euros pour aller la voir au ciné si seulement j'avais pu la voir avant. Le tout en espérant ne jamais l'avoir vue.
"Je suis une étoile et je brille quand le prince charmant me touche les gnia gnia gnia gnia gniaaaaaaaaa"
Conasse, va.
Vaughn t'as filmé le père de Ron Weasley en train d'imiter une chèvre.
Connard, va.