Alice Howland (Juliane Moore) est professeur de linguistique à l'Université de Columbia (New York). Elle s’apprête à fêter son cinquantième anniversaire avec John, son mari médecin (Alec Baldwin) et leurs trois enfants adultes, Lydia (Kristen Stewart), qui essaie de percer dans le théâtre, Anna, jeune mariée qui attend des jumeaux, et Tom (Hunter Parrish).
Lors d’un de ses cours, elle est prise d’absences. Suivent d’autres faits inquiétants (elle se perd pendant son jogging, oublie des déjeuners importants, etc.), elle se décide à consulter un neurologue. El le verdict tombe : on lui diagnostique un début de maladie d'Alzheimer précoce d’origine génétique. La fille aînée d'Alice, Anna, et son fils, Tom, se font dépister. La fille cadette d'Alice, Lydia, actrice débutante, choisit de ne pas savoir.
Alice tente de faire face, par des subterfuges, s’aidant de pense-bêtes, notant tout sur son téléphone portable, faisant des exercices de mémoire, etc. Mais la maladie est inexorable.
Mon opinion sur ce film
J’ai vu ce film par le plus grand des hasards sur le chaîne LCP-Sénat. Il était suivi d’un débat où des spécialistes venaient faire le point sur une maladie qui touche un million de Français. J’ai trouvé le jeu de Juliane Moore extraordinairement juste et émouvant dans le rôle d’une intellectuelle dont la mémoire s’efface peu à peu. Très beau film pour une grande actrice.