Expiant mes ténébreuses vacuités cinématographiques et considérant les insondables voix de mes amis arguant qu’il était honteux de n’avoir jamais vu de Hitchcock, je m’empressais donc de dévorer mon premier Hitchcock.
ENNUI
ENNUI
ENNUI
LONGUEUR-LONGUEUR-LONGUEUR
Mais qu’ai-je manqué ? De goût, assurément ?
Si la réflexion sur la (les) passion(s) amoureuse(s) est présente dans le film, elle n’en reste pas moins sous jacente par la folie que représente Scottie.
Peut-être le jeu de James Stewart, peu convaincant dans son rôle et linéaire dans ses émotions, ne m’aura absous des quelques faiblesses de style dont gorgent la réalisation.
Vint le moment de la note.
J’ai paniqué pour conclure sur un 5/10.
Toutefois, le plan d’époque au sortir de l’église, lorsque les uns entrent et l’autre en sort, est vraiment épatant. 6/10.