Tout va bien se passer, tu verras... Mon cul oui!
Un navet de plus, un!
La débilité des acteurs atteint ici sont apogée... Vous êtes-vous déjà dit devant un film (slasher en particulier) : "Et quoi, ton pote vient de mourir et tu réagis comme ça?" ? Et bien c'est comme ça pendant tout le film. Les protagoniste ont 2 de tens', ont "besoin de souffler" alors que des meurtriers sont à leurs trousses, ... Et j'en passe!
On peut les découper en morceaux, ils restent éveillés et ne crient pas... ils ne ressentent pas la douleur (oui, ils ne peuvent pas être drogués, c'est dit dans le film).
On les découpe pendant la nuit pour leur prélever un rein (à leur insu), et le lendemain, ils se réveillent comme des fleurs, en se disant "Eh bien ça alors, c'est bizarre!! Serait-ce une blague de l'un de nos amis qui ont disparu? Sûrement, retrouvons-les ces petits coquins! " (j'exagère un peu les traits, mais je vous assure que je n'en suis vraiment pas loin).
La fin du film est un des plus gros "What the fuck" qui puisse exister, tellement cela nous laisse sans voix à cause de l'idiotie du truc (Oh mon dieu, en fait le tueur était le frère du policier??? Oui et alors, qu'est-ce que ça change à l'histoire andouille?).
On navigue d'incohérence en incohérence, de cliché en cliché. Pour exemple ben le bon vieux black de service (oui, encore lui!!!!) qui est obsédé sexuel, alcoolique, complètement lobotomisé, qui lâche des feintes de merde... Mais non, ce n'est pas cliché voyons... Vive l'Amérique!!!
Bref une bonne vieille bouse qui part tout azimut sans qu'on ne comprenne jamais rien (je ne crois pas que le réalisateur lui-même devait comprendre).