Trainsmissing
Putain, déjà 21 ans. 21 ans déjà que les junkies Renton, Spud, Sick Boy et le violent Begbie ont sillonné, Iggy Pop dans les oreilles, une Ecosse industrialisée à outrance par le biais d'un film...
Par
le 1 mars 2017
59 j'aime
6
Loin d'égaler la ferveur du premier, "T2" est soumis à la malédiction consubstantielle des suites. Or, Boyle -antithèse d'un Loach- réussit à résoudre l'aporie des suites en invoquant les images du premier comme un aveu honnête de nostalgie.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Mars 2017 / Cinéma
Créée
le 5 mars 2017
Critique lue 134 fois
D'autres avis sur T2 Trainspotting
Putain, déjà 21 ans. 21 ans déjà que les junkies Renton, Spud, Sick Boy et le violent Begbie ont sillonné, Iggy Pop dans les oreilles, une Ecosse industrialisée à outrance par le biais d'un film...
Par
le 1 mars 2017
59 j'aime
6
Si Danny Boyle est ce qu'il est aujourd'hui c'est en parti grâce à Trainspotting, son deuxième film. Sorti en 1996, celui-ci connu un succès auprès des critiques et des spectateurs au point d'en...
Par
le 7 mars 2017
52 j'aime
1996 – Trainspotting sort sur les écrans et c’est un choc. Une claque qui résonne comme une révolution par son irrévérence, son culot, sa façon d’aborder la violence et la misère sociale...
le 16 févr. 2017
46 j'aime
1
Du même critique
Indispensable pour son sujet et ce qu'il témoigne des violences sexuelles faites aux mineurs. Mais, comme objet de cinéma, hormis les inventions exportées du théâtre, il n'invente rien. Et...
le 20 nov. 2018
8 j'aime
8
De la Nouvelle Vague d'où L.Garrel tire sa filiation, il n'en reste ici que peau de chagrin. Exit la légèreté, le dilettantisme, la gracilité de Truffaut ou Rohmer. Bonjour le sérieux de pape d'un...
le 7 janv. 2019
8 j'aime
La puissance de cet EP, derrière la modestie de son contenu, tient à la sagace composition de ses beats, entre rap, hip hop et dubstep franc, et à la plume aiguisée et percutante de son auteur,...
le 25 mai 2017
8 j'aime