Les intertitres annonçant un drame moral ne présagent rien de bon sur le plan cinématographique.
La scène est intéressante car on la voit après la réaction des spectateurs [06'28]. Malheureusement, la mode était aux intertitres longs et explicites comme aujourd'hui aux bavardages terriblement ennuyeux... au détriment de l'image.
Ceci dit, ce drame de la vie vaut le détour car Vera Kholodnaya atteint le sommet de sa très courte carrière [35'45] - elle est morte en 1919 de la grippe dite espagnole, venue en fait des États-Unis.
La musique extradiégétique, rajoutée après coup, n'apporte rien bien au contraire.