Un idéaliste dans la ville
Tant que le soleil frappe a beaucoup de choses à dire, sur la gentrification des villes, sur la politique urbanistique et sociale des municipalités, par exemple, et le film attire a priori la...
le 28 oct. 2022
2 j'aime
Correct.
L'idée de suivre ce paysagiste dans son projet social est intéressante, c'est un univers trop peu exploré et l'aspect social n'est pas mal exploité. Ce qui déçoit c'est que l'auteur n'arrive pas à trouver de conclusion satisfaisante pour tous les enjeux lancés, que ce soit la question de la grossesse ou, pire encore, la fin du film, trop facile. Les personnages sont corrects mais le secondaires ne prennent pas assez de place.
La mise en scène est correcte, le découpage est sobre, posé, typique des films d'auteur, rien de très marquant, mais l'action est lisible. Le montage est bien rythmé. Les acteurs offrent de bonnes performances, naturelles, sans excès. Les décors sont bien choisis mais pas assez exploités (que ce soit ce coin de rue que le héros essaie de boiser ou cette superbe demeure du joueur de foot.
Bref, ça se regarde mais c'est un peu décevant.
Créée
le 6 nov. 2023
Critique lue 114 fois
3 j'aime
D'autres avis sur Tant que le soleil frappe
Tant que le soleil frappe a beaucoup de choses à dire, sur la gentrification des villes, sur la politique urbanistique et sociale des municipalités, par exemple, et le film attire a priori la...
le 28 oct. 2022
2 j'aime
Dans un espèce de drame écologique (ou de prise de conscience écologique) à travers le personnage de Max qui a un projet d'urbanisme et créer un jardin sauvage et ouvert à tous afin de faire respirer...
Par
le 21 juin 2023
1 j'aime
+ 1 grâce à la performance et l'engagement de Swan Arlaud
le 30 juin 2024
Du même critique
Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...
Par
le 3 janv. 2016
122 j'aime
35
Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...
Par
le 22 févr. 2014
122 j'aime
45
La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...
Par
le 16 janv. 2011
110 j'aime
55